Ce jeudi 26 septembre, le prince Harry a été invité au Tonight Show de Jimmy Fallon à New York. Le fils de Charles III a participé à un jeu avec le célèbre présentateur et il est indéniable qu’il a donné de lui-même!
Le prince Harry ne s’en prend pas à moitié. Le duc de Sussex a participé au Tonight Show de Jimmy Fallon ce jeudi 26 septembre lors de sa visite à New York pour la Semaine du Climat. L’humoriste a accepté de tester le « labyrinthe hanté » du Rockefeller Centre avec le fils de Charles III, plutôt que de répondre à quelques questions comme un invité ordinaire. Dans l’obscurité, le frère de William et l’animateur ont été surpris à plusieurs reprises par quelques comédiens déguisés, provoquant des cris et des jurons en direct. Les téléspectateurs et les observateurs de la Couronne n’ont pas l’habitude de voir une séquence amusante avec un membre de la famille royale britannique.
Assurant tout d’abord de ne pas être facilement effrayé, le prince de 40 ans a reconnu que « aujourd’hui, cela pourrait être différent ». Le conjoint de Meghan Markle, portant une caméra à la poitrine, a en effet été capturé en train de crier de peur à différents moments. En particulier lorsque le duo a été accueilli par une femme vêtue de blanc avec des cercles noirs autour des yeux. Le père de famille s’est amusé en disant : « C’est un panda? » avant de déchanter en la voyant lui courir après avec un couteau. « Les pandas vous effrayent », s’est alors moqué Jimmy Fallon. « Non! » « Je n’ai aucune crainte, je n’ai aucune crainte », a assuré son partenaire de jeu.
Harry était à New York depuis quelques jours, sans Meghan Markle, pour assister à la Semaine du Climat. Il a ainsi pu présenter lors d’une conférence le dernier projet de sa femme et lui : The Parents Network. En août, les Sussex avaient accordé une interview à ce sujet. Au cours d’une manifestation organisée par l’Organisation Mondiale de la Santé en l’honneur des victimes de violences infantiles, le prince a en particulier dénoncé l’addiction engendrée par les réseaux sociaux et les conséquences néfastes qu’ils causent aux jeunes utilisateurs : On les maintient sur ces plateformes grâce à un défilement absurde, interminable et paralysant – on leur impose des contenus auxquels aucun enfant ne devrait jamais être confronté. Ce n’est pas un choix libre. Selon APNews, il a ainsi lancé cette initiative alors que son épouse et lui luttent contre le cyberharcèlement depuis plusieurs années.
