Le 29 septembre, Jean-Pierre Foucault était l’un des invités de Frédéric Lopez dans le numéro d’Un dimanche à la campagne. L’animateur célèbre a partagé des secrets sur sa jeunesse et sur la disparition de son père, tué en pleine rue.
Un drame effrayant. Le dimanche 29 septembre, un nouveau numéro de l’émission Un dimanche à la campagne a été diffusé sur France 2. Plusieurs invités ont été présents cette semaine chez Frédéric Lopez : l’humoriste Arnaud Tsamère, la chanteuse Anggun et le présentateur Jean-Pierre Foucault. Celui-ci, qui a récemment participé à l’émission spéciale anniversaire du célèbre programme Qui veut gagner des millions?, a notamment raconté un épisode très douloureux passé dans sa jeunesse. Quand il n’avait que 14 ans, son père a été tué en pleine rue.
Mon père exercait le métier d’importateur et d’exportateur de fruits et légumes. Jean-Pierre Foucault, le visage sérieux, se souvient qu’un jour, le 19 ou le 20 février [1962], il se rend en Algérie pour vérifier la comptabilité de l’entreprise. Le 22 février, il a été atteint d’une balle dans le dos et d’une autre dans la nuque. « On ignore la raison. » « Je n’ai jamais réalisé la raison », a expliqué l’animateur de 76 ans, dont les confidences bouleversantes n’ont pas laissé les autres invités indifférents. Suite au drame, le jeune adolescent a d’abord été informé que son père avait été victime d’un « accident de voiture ». Pendant un certain temps, il a donc cru qu’il serait bientôt de retour, « avec des béquilles » : « J’attendais que la porte s’ouvre et que mon père arrive en claudiquant, et vienne vers moi. Malheureusement, il est absent.
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Il est évident que ce drame a eu des répercussions sur la vie de Jean-Pierre Foucault. Cette expérience terrifiante a influencé la personnalité qu’il est devenu. À l’âge de 14 ans, je suis soudainement devenu adulte. « Mon cœur s’est renforcé, je suis devenu une personne différente, y compris à l’école », a partagé le participant sur France 2. C’est pourquoi j’ai commencé à jouer le rôle de clown : afin d’éviter de répondre à la question constante : « Pourquoi ton père s’est fait descendre dans la rue? ». C’était toujours ainsi. J’en avais assez. « Cela m’a fait réaliser que, maintenant, l’avenir était à moi », a-t-il conclu. Il m’incombait de me débrouiller seul.
