Cathy, dont l’histoire a été découverte dans la saison 15 de L’amour est dans le pré, continue d’éprouver de l’émotion. Après de nombreuses tragédies dans sa famille et des dégâts causés par des problèmes de gestion de son domaine viticole à Macau, dans le Médoc, la vigneronne doit maintenant affronter une nouvelle épreuve atroce. Le 24 juillet dernier, elle a annoncé sur Instagram que sa récolte avait été détruite par le mildiou, une maladie qui terrifie depuis longtemps les agriculteurs. À la suite de cette catastrophe, Cathy a lancé un appel à l’aide, désirant ardemment que la situation évolue avant qu’il ne soit trop tard. Mildiou, un fléau insoupçonné Le mildiou est une maladie fongique commune touchant diverses cultures, notamment la vigne. Le problème avec le mildiou est que, une fois infectée, la vigne peut se propager rapidement. Ainsi, une exploitation touchée par la maladie la transmettra bientôt à d’autres. C’est malheureusement l’expérience de Cathy sur laquelle elle s’est récemment retrouvée. Le suicide de son père en 2016, après la perte de sa propre récolte, a transformé la vie de Cathy. Incapable de gérer le stress et l’idée de tout devoir recommencer, Vladimir. La situation est donc particulièrement douloureuse pour elle. “Ce qui arrive est dramatique, je n’ai plus de récolte dû au mildiou et aux voisins qui ont abandonné leur vigne.”
Un appel de détresse Un mois plus tard, la situation de Cathy n’a fait qu’empirer. L’inaction des autorités locales qui n’ont pris aucune mesure pour éradiquer la propagation du mildiou dans les exploitations environnantes contribue à son calvaire. Sans aucun recours, elle prend de nouveau la parole sur Instagram, mais cette fois-ci dans une vidéo émotive. Elle montre les dégâts sur ses vignes et explique que son voisin n’a toujours pas pris les mesures pour contenir la maladie. En la voyant, on la sent fatiguée, sa voix est pleine de tristesse et sa frustration est évidente. Elle confesse sur un ton bas : « Aujourd’hui je n’ai plus rien sur mes vignes. 12 hectares sans raisin, je n’aurai pas de récolte 2024, et personne n’en parle. Je ne suis pas seule dans ce cas-là, mais que faire? » C’est un appel de détresse, une tentative désespérée de sensibiliser les gens à sa lutte. Elle espère que les médias, en présentant son problème, le rendront impossible à ignorer. Un message de préoccupation. Le soutien du public Sur les réseaux sociaux, le hashtag #àcôtédemaperte culmine. Les gens expriment leur soutien à leurs publications de Cathy, faisant littéralement pression sur Instagram sur leur site web. Les commentaires sont écrasés par les messages d’encouragement : « Courage Cathy, nous sommes avec vous », « C’est tellement injuste », « Je suis sûr que cette force t’aidera à traverser cette période ».
Pour Cathy, si c’est joli, ce n’est rien tant qu’elle n’a pas l’impression que ses paroles et ses appels à l’aide se traduisent en mesures pour sauver ce que son établissement viticole laisse. Si ces vignerons souhaitent réellement intervenir pour limiter ces dommages, il est temps que les agences gouvernementales agissent et soutiennent leur personnel, au lieu de s’occuper de feux dont les agriculteurs comme elle ne peuvent pas faire grand chose. Que peut-on faire en cas de crise de la viticulture? Le cas de Cathy est semblable à de nombreux vignerons qui vivent en France: le mildiou est une véritable plaie pour les producteurs de vin, dont on a appris qu’elle est aggravée en raison du changement climatique. Ce qui est pire encore, c’est que de nombreux propriétaires privés la tordent de la sienne en ce sens que leurs établissements délabrés se transforment en incubateurs pour le développement de cette affection. Il n’y a qu’une seule conclusion pour Cathy : il faut pousser pour une solidarité plus grande entre agriculteurs et une gestion des risques plus responsable. J’espère du moins qu’en faisant son appel, les gens prêtés l’oreille pour éviter de nouvelles crises de ce type. Qu’ennui : Liste de vos ennues actuelle Pour Cathy, il est difficile de dire ce qui se passe dans l’avenir. De ses propres mots, elle a déjà tout perdu une fois quand son père a commis le suicide, et l’année 2021 lui a également pris tout équipage de son établissement viticole. Malheureusement, ses vignes sont détruites, ainsi que tous ses espoirs de la récolte 2024, mais malgré tout cela, elle se batte, espère toujours que ses appels sont entendus. La seule donce est quelque chose que lui et beaucoup d’autres vivent aujourd’hui. L’attente de solutions concrètes n’empêche pas Cathy de rester allumée et d’attendre que l’usine soit bientôt meilleure.