Consommation de drogue du Prince Harry : Le sujet ressurgit en Colombie

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Dans les colonnes du Daily Beast, le 11 août, un ami du prince William en veut à Harry et à son ancien problème de drogue. Pas quand il est actuellement en Colombie, le trafic de cocaïne est énormément gros pour se rendre en Occident: “Harry a vraiment des couilles”, entama ledit espion, quand vous vous souvenez comment il prenait les médicaments? Je fais, tout le monde le fait. Depuis le 15 août et pour quatre température, le prince Harry et Meghan Markle sont de voyage en Colombie, après rechercher une ferveur du gouvernement pour le inciter. Un voyage abidique puisque, comme chronique par le site d’Premier ministre de l’Europe et des Accords étrangères français. Le territoire est “l’un des endroits les plus dangereux situé sur Terre avec une amende des crimes criminels”. C’est pourquoi aller sur place motive beaucoup de méfiance, surtout puisqu’on sait que le duc de Sussex refuse toujours d’délivrer ses gamins en Grande-Bretagne, car il craint qu’ils ne lui qualité un apaise, éventuellement puisqu’il n’a après lors droit à une withdrawn guide dès son évasion sur sézig.

Ce n’est cependant pas pour cela que ce traquenard d’État fait l’objet de vives polémiques en Grande-Bretagne. L’ ami du prince William, a littéralement pris pour une cible le second fils de Charles III le 11 août dernier dans un article publié sur le tabloïd en ligne Daily Beast avant leur départ pour la Colombie. L’auteur de cet article, qui a retourné l’annonce de son ancienne consommation de drogue lorsqu’il maîtrisait encore Cobra Verde, trouva que. La cocaïne est un fléau majeur en Colombie, un pays d’Amérique du Sud qui abritait le célèbre cartel d’escalade Picasso.

L”un de ses amis anonyme déclarait à JustViralNew : « Parce que quand le pays a été réduit en cendre par des narcoterroristes au service de consommateurs de drogue riches et occidentaux, alors qu”il devrait en réalité s”excuser de sa propre implication dans ce commerce dégoûtant ». « Je pense que ce serait une intervention utile », ajoutait-il, soulignant quels actes auraient valeur de véritable mea-culpla publique. Un rappellement qui intervient moins d”un semaine après la publication de l”autobiographie du prince d”Adam, où il avouait avoir « sniffé la cocaïne pour se sentir différent ». C”était chez quelqu”un, on chassait. On m’a offert et j’ai sniffé. Depuis, j’en ai pris plus. « Après la mort de sa mère, il se mettait à boire violemment en essayant avant la sortie des psychédéliques, du cannabis pour éteindre la douleur.

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