Jacinda Ardern quitte le pouvoir : le bilan d’une Première ministre progressiste

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La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a annoncé sa démission surprise hier soir, mettant fin à son mandat de trois ans et demi à la tête du gouvernement. Dans une déclaration, Ardern a expliqué qu’elle avait pris cette décision pour des raisons personnelles et familiales, sans donner plus de détails.

La démission d’Ardern a suscité la surprise et l’incrédulité chez les membres de son parti, le Parti travailliste, ainsi que chez les membres de l’opposition et les citoyens néo-zélandais. Ardern avait été élue en 2017 avec un large soutien populaire, et elle avait été largement saluée pour sa gestion de la crise sanitaire causée par la pandémie de COVID-19.

En raison de sa démission, le vice-Premier ministre, Grant Robertson, prendra la tête du gouvernement en tant que Premier ministre par intérim jusqu’à ce qu’un successeur soit élu. Robertson a déclaré qu’il allait continuer à suivre la vision et les politiques de Ardern pour garantir une transition en douceur.

Ardern avait mené une politique progressiste et inclusive pendant son mandat, mettant en place des mesures pour lutter contre la pauvreté, l’inégalité et le changement climatique. Elle a également été saluée pour sa réponse rapide et efficace à la pandémie de COVID-19, qui a permis à la Nouvelle-Zélande de maintenir un taux de mortalité relativement bas par rapport à d’autres pays.

Une Première ministre populaire

Au cours de son mandat, Jacinda Ardern a su s’imposer comme une Première ministre populaire auprès de la population néo-zélandaise. Elle a mené une politique progressiste et inclusive, mettant en place des mesures pour lutter contre la pauvreté, l’inégalité et le changement climatique. Elle a également été saluée pour sa réponse rapide et efficace à la pandémie de COVID-19, qui a permis à la Nouvelle-Zélande de maintenir un taux de mortalité relativement bas par rapport à d’autres pays.

Une gestion efficace de la pandémie

La gestion de la pandémie de COVID-19 par Jacinda Ardern a été remarquée par les experts internationaux. Elle a pris des mesures rapides et efficaces pour limiter la propagation du virus en Nouvelle-Zélande, y compris la fermeture des frontières et la mise en place de verrouillages locaux ciblés. Grâce à ces mesures, la Nouvelle-Zélande a réussi à éviter une grande partie de la morbidité et de la mortalité associées à la pandémie, comparée à de nombreux autres pays.

En outre, Ardern a également été saluée pour sa communication transparente et efficace avec la population néo-zélandaise. Elle a régulièrement tenu des conférences de presse pour informer la population des mesures prises et des développements de la pandémie, ce qui a contribué à maintenir la confiance et la compréhension de la population envers les mesures de santé publique prises.

Malgré ces réalisations, la démission d’Ardern soulève des interrogations sur l’avenir de la Nouvelle-Zélande et les politiques progressistes qu’elle a mises en place. Beaucoup espèrent que le prochain Premier ministre continuera à suivre la vision et les politiques d’Ardern pour maintenir un gouvernement stable et efficace pour le bien-être de tous les Néo-Zélandais.

En résumé, la démission surprise de la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a suscité la surprise et l’incrédulité chez les membres de son parti, l’opposition et les citoyens néo-zélandais. Ardern avait mené une politique progressiste et inclusive pendant son mandat, mettant en place des mesures pour lutter contre la pauvreté, l’inégalité et le changement climatique. Elle a également été saluée pour sa réponse rapide et efficace à la pandémie de COVID-19. La démission d’Ardern soulève des interrogations sur l’avenir de la Nouvelle-Zélande et les politiques progressistes qu’elle a mises en place.

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