Dans un entretien exclusif accordé à Madame Figaro, Léa Drucker, célèbre actrice française, s’est confiée sur son rôle de mère, entamé il y a maintenant huit ans. Cinq films et une série, voilà comment résumer l’année 2022 de Léa Drucker, qui s’annonce tout aussi riche pour 2023 avec notamment les projets « Sous contrôle » et « L’Été dernier ».
Une carrière au sommet
Avec une carrière qui est au top, Léa Drucker va enchaîner les déplacements pour promouvoir ses films dans les médias. Résultat, elle sera moins présente avec les siens, mais pas question pour elle de rester trop loin trop longtemps de sa fille de huit ans, née de son amour avec le réalisateur Julien Rambaldi. « D’un point de vue professionnel, les choses ont commencé assez fort dans ma quarantaine », déclare-t-elle.
Devenir mère, un nouveau départ
C’est à 42 ans que la nièce de Michel Drucker a donné naissance à son premier enfant. Un rêve devenu réalité pour elle. « J’ai eu l’impression de commencer une nouvelle vie », admet-elle. Et son prénom, Martha, n’a pas été choisi au hasard : « comme une chanson des Beatles, comme la pianiste Martha Argerich, comme la chorégraphe Martha Graham, comme le premier amour de Tom Waits, qui lui a consacré une chanson ». Cette décision mûrement réfléchie « insuffle une part du caractère » : « On souhaite à toutes les petites filles d’avoir de la force, une force de résistance. C’était mon fantasme de mère ».
Penser à l’avenir de sa fille
Léa Drucker se dit moins inquiète pour l’avenir de sa fille suite aux scandales qui ont explosé suite au mouvement Metoo, qui ont été pour elle « une sacrée révolution ». « Je suis heureuse de me dire que lorsque ma fille, qui a 8 ans, sera plus grande, et qu’elle fera un stage, travaillera, elle saura ce qui se fait et ce qui ne se fait pas. Cela donne un cadre », déclare-t-elle. Cependant, elle reconnaît qu’il peut y avoir « plus d’abus » car « dès qu’il y a du pouvoir, il peut y avoir de l’abus ».
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