Les obsèques d’Alain Delon, acteur devenu une institution du cinéma français, se sont déroulées ce samedi 24 août, dans une atmosphère particulièrement remplie d’émotion et de simplicité. Mort le 18 août à l’âge de 88 ans, Alain Delon laisse un immense héritage cinématographique, mais aussi et surtout, une empreinte indélébile dans le cœur de ses proches et de ses nombreux fans. Le Parisien dévoile ainsi, par le truchement du récit d’un des invités à la cérémonie, les coulisses du dernier adieu à l’acteur ayant marqué plusieurs générations. Cérémonie intime et famille réunie Manifestement, il n’est pas anodin d’entendre que la cérémonie s’est déroulée dans l’intimité de La Brûlerie, une chapelle érigée sur le domaine de 120 hectares d’Alain Delon à Douchy. En effet, l’acteur avait offert l’instant de ses funérailles à une quarantaine de proches. Cependant, malgré ce chiffre on ne peut plus restreint, la capacité de l’édifice a dû être augmentée par l’installation d’un barnum, accueillant les proches. Le premier d’entre eux arrivait à 13 h 30. À 16 h, la cérémonie débutait, ils étaient là dans une tournure toute sobre et solennelle. Ainsi, les enfants d’Alain Delon, Anthony, Anouchka, et Alain-Fabien, étaient chargés de porter la dépouille de leur père, accueillie d’une mélodie aux notes du Clan des Siciliens, consacrée par Ennio Morricone. Une mélodie qui était jouée pendant que le cercueil était porté à l’intérieur de la chapelle.
Le discours de tous les proches décédés a ouvert la cérémonie et obtenu l’approbation de la sincérité et de la profondeur. Vincent Lindon, ami de Delon, est intervenu d’ une manière très émouvante. Cependant, c’était les mots de l’acteur de l’homme que l’assemblé restait vraiment accrochée. L’ invité a non seulement fait écho au point précédent. « Anthony a dit sans rien regarder, devant rien sur ce soit. C’était fou, tellement beau. Vous pourriez sentir l’attitude ». L’absence de notes supplémentaire a permis au fils aîné de célébrer pleinement la sincérité et l’émotion, avec une mention spéciale pour la gloire et en même temps un cœur déchirant de son père, un film emblématique en France. Après les discours, La maison a de nouveau tiré des publicités célèbres du film long-métrage Deux Hommes Dans la Ville, Histoire d’être rabattues par Philip Sarde, un succès incontournable et associé à son icône culturelle. Loubo reste le fidèle compagnon de Delon jusqu’à son dernier adieu L’un des détails les plus touchants de la cérémonie sera la présence du berger allemand de Delon, Loubo. Admis libre du devoir de ner dans la chapelle, il a introduit une dimension humaine de la compassion et du réconfort pour l’ensemble de l’adieu. Pour la star, le chien n’était pas seulement un animal de compagnie. C’était un soutien émotionnel tout sur la route qui a caractérisé les dernières années les plus proches et les plus solitaires. L’événement raconté par Le Parisien a clairement ému tous les invités. Fidèle jusqu’au bout, il s’est retrouvé seule pour venir à l’enterrement des Delons. La tendresse et la loyauté de son séjour étaient un symbole pour le reste de la famille que, même après la mort, l’amour pour un animal et un homme habite endure. Bilan marqué .
Un autre moment fort de la cérémonie a été la fine pluie qui commença à tomber à l’Euchariste, comme pour montrer un signe des cieux. C’est alors que les admirateurs rassemblés d’Alain Delon face à Douchy commencèrent à chanter Paroles, paroles, le titre populaire dans lequel il a interprété avec Dalida. Pour ceux-là, la pluie était elle un signe que leur idole je les entendant? Georges Duby a dit La pluie c’était un signe. Nous avions la certitude qu’il nous regardait de là-haut. Cette spécialité a été mise en quarantaine, car dans moins d’une demi-heure, le soleil était de retour et resterait jusqu’à la fin de la cérémonie. Cette journée se caractérise par le fait que la. Somme de la journée : Lumière et obscurité contrastante: la mort et l’espoir qui d’ore et déjà Trouvez un colonie ultérieure, après que l’office de 17 h 25 a pris fin dans un blash de larmes partagées et terminée par des collations weaky fournies, sous-marins qui ont commencé à quitter Douchy une demi-heure plus tard à 18 h 15. La journée était une célébration officielle et une mémoire chaleureuse et informelle de la mort d’un groupe d’amis et de proches, en particulier cette fois. Un dernier hommage optique.
L’hommage à Alain Delon a pris une forme visuelle. Un livret de messe, distribué aux funérailles aux invités, portait une photographie en noir et blanc de l’acteur. La photo, extraite du film Les Aventuriers, le montrait avec une barbe et son visage doux et sage avait un air mystique. Le titre du livret était simple : « Baisser de rideau ». Ce choix éditorial, lapidaire mais significatif, convient parfaitement à la pandémie de vie d’une légende du cinéma. Cette image, également largement partagée par des dizaines de milliers de fans sur les médias sociaux, a été reprise en guise d’hommage final à Alain Delon, l’homme et l’acteur. L’héritage d’une légende du cinéma. La mort d’Alain Delon a laissé un vide immense dans le cinéma français. Outre ses performances légendaires, il représentait une génération d’acteurs chez qui l’art dramatique n’était pas un métier, mais une vocation. Les funérailles d’Alain Delon, bien que privées et modestes, ont fait honneur à son rang. Avec des discours sincères, de courtes mais belles prestations musicales et la présence de sa famille, la vie d’une grande figure du cinéma français a pris fin. Pour ses admirateurs, l’étoile d’Alain Delon brillera toujours, par sa performance à l’écran et les souvenirs de son charme éternel.
