Victor Belmondo joue dans le film Vivre, Mourir, Renaître depuis le 25 septembre. Dans une interview accordée à Télé Star ce lundi 30 septembre, l’acteur âgé de 30 ans a partagé le précieux conseil donné par son grand-père décédé, Jean-Paul Belmondo, avant de se lancer dans sa carrière.
Le nom de Victor Belmondo est omniprésent. L’acteur joue dans Vivre, Mourir, Renaître, un film de Gaël Morel, depuis le 25 septembre, dans le rôle de Cyril, photographe séropositif dans les années 90. Au cours de la promotion du film, le nom de son grand-père décédé, Jean-Paul Belmondo, est mentionné à chaque interview. Et il n’en est pas moins que, en plus d’être la copie conforme de Bébel, il suit la même carrière. Dans une interview accordée à Télé Star ce lundi 30 septembre, le fils de Luana Belmondo a également partagé le précieux conseil que la célébrité de Borsalino lui a donné avant de se lancer dans le métier : « Il était modeste, il s’amusait énormément et le seul conseil qu’il m’a donné était précisément de m’amuser. »
Un conseil que Victor Belmondo respecte scrupuleusement. « Je suis extrêmement enthousiaste sur un plateau. » « À mon avis, il serait fier », partage-t-il avec le magazine. Le 25 septembre, le frère d’Alessandro avait mentionné dans les pages du Parisien qu’il souhaitait moins se mettre la pression et « avoir sa propre manière de désacraliser le métier et le moment de jeu, tout comme Jean-Paul Belmondo, dont il ne cache jamais son admiration ». De se laisser aller et d’être complètement insouciant.
Jean-Paul Belmondo est décédé, ce qui a profondément marqué la vie de son petit-fils, Victor, avec qui il entretenait une relation épanouissante. Le 8 septembre dernier, lors d’une interview avec Audrey Crespo-Mara dans Sept à Huit, l’acteur a discuté avec douceur et nostalgie de son grand-père décédé. « Ce fut le grand-père imaginaire. » Il était tellement léger, tellement joyeux de vivre. Quand nous étions là avec lui, sa seule envie était de nous faire rire. « Dès qu’il le pouvait, il nous incitait à faire des erreurs, il faisait lui-même des erreurs dès qu’il le pouvait », commence-t-il par raconter. Par la suite, le frère d’Alessandro et Giacomo a abordé leur relation : « Nous étions très proches. » C’était mon meilleur ami, celui avec qui je passais la majeure partie de mon temps, celui qui m’amusait le plus, celui qui m’écoutait le plus, et vice versa. C’était mon ami le plus proche. Des déclarations troublantes.
