Dans les pages du récent exemplaire de Vanity Fair, Virginie Efira a abordé ouvertement ses complexes. L’actrice âgée de 47 ans a exprimé qu’elle ne s’identifiait pas nécessairement à la perception qu’autrui peut avoir d’elle.
Elle a consenti à interpréter des rôles de femmes fatales pour Vanity Fair. En compagnie de ses pairs, Virginie Efira a accordé une longue entrevue au cours de laquelle elle a discuté de sa carrière professionnelle ainsi que de sa vie privée. Malgré les apparences, la compagne de Niels Schneider conserve encore quelques complexes physiques. C’est ainsi, il est nécessaire de se regarder en face, je ne possède pas le charisme d’Ava Gardner ou de Léa Seydoux, nous ne dégageons pas la même aura. Pour ma part, je me considère comme étant ancrée dans le milieu agricole belge », affirme la comédienne âgée de 47 ans dans les colonnes du magazine féminin, avant de préciser qu’elle avait « une certaine perception de sa morphologie ».
Malgré le fait que le public la perçoive comme étant belle, drôle et talentueuse, Virginie Efira semble ne pas s’apprécier à sa juste valeur. Elle constate qu’elle a une apparence assez imposante alors qu’en réalité, elle n’est pas si imposante, avant d’ajouter : « Ou je ne me perçois pas nécessairement élégante alors que peut-être… » Heureusement, les personnes qui l’entourent sont présentes pour lui rappeler son véritable mérite. Son partenaire Niels Schneider, les prestigieuses marques avec lesquelles elle collabore, ainsi que les divers cinéastes avec lesquels elle collabore.
Virginie Efira était sujette à des complexes : ce qui la dérangeait au commencement de sa carrière dans le cinéma.
En février dernier, lors d’une interview accordée à Society, la femme qui est récemment devenue mère pour la seconde fois à l’âge de 46 ans, a révélé qu’elle avait longtemps ressenti de la gêne à l’idée d’incarner principalement des rôles dans des comédies romantiques au début de sa carrière : Pendant une période prolongée, j’ai été affectée par un complexe car j’avais l’impression de véhiculer une image très axée sur la bonne santé, ce qui, à mon avis, risquait de me priver de rôles captivants.
Cependant, selon elle, plusieurs éléments étaient à l’origine des rôles peu importants qu’elle décrochait : « Il est probable que cela soit attribuable à ma morphologie, à mon expérience passée à la télévision, à ma façon d’interagir avec le monde, ainsi qu’à une politesse affable. » Jusqu’à ce que la réalisatrice Justine Triet lui ait assuré qu’elle était capable d’incarner des personnages aux limites de la normalité : « Elle m’avait déclaré : ‘Ne te méprends pas, tu as la capacité de paraître un peu borderline’. Et j’étais extrêmement ravie qu’elle m’exprime cela. C’est effectivement cette réalisatrice qui va marquer un tournant dans sa carrière en lui confiant le rôle principal de son film Sibyl en 2019 : Elle a discerné en moi des aspects que les autres ignoraient, notamment une certaine austérité, car je n’ai jamais affiché que de la gaieté et de la jovialité.