Brigitte Macron Victime de Nouvelles Attaques Transphobes : Une Rumeur Insistante

Cet été, Brigitte Macron a une fois de plus fait l’objet de rumeurs véhémentes relatives à la transidentité. Alors qu’elle était photographiée en maillot de bain pendant ses vacances au Fort de Bregançon, les clichés ont refait surface et alimenté des théories conspiratoires émanant de 2021. Ces calomnies, rapidement devenues virales, sont particulièrement désagréables entant qu’elles mettent en doute le genre de la Première dame. Malgré l’influence croissante de la campagne de désinformation sur les réseaux sociaux. Brigitte Macron et sa famille comba t toujou rs ces informations erronées. Vacances ce moi dernier eerder d’actualité. Quand le couple présidentiel français a pris soin à profit De son temps libre au Fort de Bréganon, des paparazzis les capturent en images. Brigitte Macron était dans un maillot de bai de couleur turquois e, les photographies ont rapidement été partagées. Bien attisées simplement du détente de la Première dame. ces images ont été une fois de plus utilisées pour renverser le renouvellement des théories du complot. Après avoir commencé à faire le tour de la planète en 2021,ces théories spatiales affirment que Brigitte Macron est faite de: elle en est un.l’homme est circumpolaire.

Une vieille nouvelle

Les attaques de Brigitte Macron ne datent pas d’hier. Selon Alba Ventura, elles étaient déjà virales au printemps 2021, multiloculaires grâce à divers groupes conspirationnistes. “Leur carburant est le côté anti-élite”, explique la journaliste. Des anciens gilets jaunes, des anti-vaccins et des naturopathes notoires sont convaincus que la première dame a, en fait, été réincarnée en tant que femme, qui serait née sous le nom de Jean-Michel Trogneux, nom de son frère. La désinformation est partie de France. “Ils ont été repris à l’étranger”, précise Alba Ventura. Des réseaux trumpistes les exploitent. Brigitte Macron et son frère ont donc décidé de porter plainte. En février 2022, ils ont décidé de poursuivre pour diffamation deux femmes, l’une “médium”, l’autre “journaliste indépendante”, qui avaient distillé la rumeur. Le juge a été condamné le 12 septembre. Si cela est jugé recevable, cela pourrait constituer un avant-retour. Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron, a également exprimé sa préoccupation. “J’ai peur du niveau de la société quand j’entends qu’elle circule sur les réseaux sociaux à propos de ma mère, qui est un homme”, a-t-elle déclaré dans une interview accordée à Paris Match en février dernier. Comment réagir face à la myriade de mensonges qui circulent sur Internet?

Elle a abordé la situation plus personnelle que les rumeurs ont sur sa propre famille et ses enfants. “Déjà, mes enfants entendent des horreurs à l’école”, avouait-elle. Elle a également voulu mettre en avant le cadre d’écoute qu’elle et son mari essaient de leur offrir. Pour elle, un véritable fléau contre lequel il est difficile de lutter : “Tout le monde peut dire n’importe quoi sur n’importe qui, et en plus, il faut du temps pour le faire retirer!” rapporte RTL INFO. Cette situation a provoqué de la colère chez Tiphaine Auzière, mais elle estime surtout qu’elle est symptomatique d’un mal plus large en France. Un combat juridique et moral contre le désinformation. Le combat n’est pas terminé pour la famille Macron face à ces rumeurs transphobes. Si elle a porté plainte, la Première dame reste la cible d’un cyberharcèlement massif propulsé par les réseaux sociaux. La date du jugement, prévu pour le 12 septembre, pourrait à ce titre marquer une première réponse juridique à ces attaques. Mais la lutte contre la désinformation dépasse le cadre judiciaire : c’est aussi une bataille pour la vérité et le combat contre un discours de haine généralisée sur les réseaux sociaux, comme l’a expliqué Alba Ventura sur TF1 ce dimanche. Les réseaux sociaux sont un terreau fertile pour les complotisme : en cas de diffusion, il est difficile d’y faire face. “La présidence Macron a été marquée par plusieurs vagues de désinformation. Ces rumeurs transphobes sont une nouvelle étape et permettent d’illustrer la difficulté pour le gouvernement de lutter contre la régulation des contenus en ligne. La diffamation et le cyberharcèlement sont devenus des problèmes majeurs pour la société, pas seulement pour les dirigeants”, conclut le média francophone.

Conclusion: Brigitte Macron contre attaques injustifiées

L’expérience de Brigitte Macron, qui a été l’objet d’attaques transphobes ces dernières années, est un autre exemple de la solitude pourquoi le complot conduit parfois. Même si la Première dame a déposé des accusations contre les propagateurs de ces rumeurs sur les médias sociaux; cependant, elle n’avait peut-être pas compris à quel point il était difficile de lutter contre eux. En bref, ces rumeurs ne lui nuisent pas seulement sur le plan personnel, sa famille et elle; cela révèle également combien la société est dans un état catastrophique et incapable de lutter contre la désinformation. Étant donné que ces rumeurs sont la piqûre des médias sociaux, il est logique de dire qu’il est plus approprié d’essayer de protéger autant que possible les citoyens d’une multitude de diffamations et d’attaques injustifiées. Alors que toute l’affaire est devenue de plus en plus importante, Brigitte et sa famille veulent juste que tout soit révélé et que la théorie du complot ridicule cesse d’être propager. En attendant, elle s’endurcit pour faire face à ces attaques coûteuses.