Dans les coulisses du pouvoir à Matignon, une protagoniste à quatre pattes nommée Volta, une chow-chow au charisme indéniable, offerte à Gabriel Attal, le Premier ministre, par sa famille, s’est rapidement érigée en véritable mascotte de la résidence officielle. Nommée en l’honneur d’Alessandro Volta, cette compagne canine incarne un dynamisme rafraîchissant dans l’enceinte chargée d’histoire.
Closer, tout en mettant en avant les défis personnels de Carla Bruni, s’est penché sur les péripéties de la nouvelle résidente de Matignon, révélant des aspects pour le moins inattendus de son quotidien.
Durant ses escapades dans le vaste parc de Matignon, Volta se livre à des courses effrénées, apportant joie et vitalité. Cependant, c’est son choix de « toilette » qui suscite l’intérêt : parmi la richesse botanique du parc, marquée par les empreintes des prédécesseurs du Premier ministre, Volta montre une prédilection singulière.
Elle délaisse les arbres plantés par Edith Cresson et Dominique de Villepin pour se diriger vers un lieu bien spécifique, non loin du pavillon de musique. C’est là, à l’ombre du katsura planté par Alain Juppé, que Volta décide d’apporter sa contribution personnelle au jardin, en choisissant le cornouiller des pagodes de François Fillon comme cible de prédilection pour ses marquages territoriaux.
Cette anecdote dévoile un aspect méconnu de la vie à Matignon, où même les membres les plus discrets de la résidence, comme Volta, participent à l’histoire et à la continuité de ce lieu de pouvoir. Avec ses escapades et ses choix insolites, Volta ne manque pas de laisser une empreinte indélébile, ajoutant une note d’originalité et de légèreté au quotidien du Premier ministre et de son entourage.
Ainsi, au-delà des affaires d’État et des enjeux politiques, la présence de Volta à Matignon rappelle que derrière les murs chargés d’histoire se cachent des histoires de vie pleines de charme et d’anecdotes attendrissantes.
